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mercredi 24 juin 2015

Kitclope présente : Red Astaire de T-Juice : Vapons sous les fruits.





C’est grâce à deux formidables personnes, Xavier et Maria de chez Kitclope que j’ai pu tester le fameux Red Astaire. Deux personnages épatants, d’une gentillesse déconcertante et qui, j’en suis certain, disposent d’une allure remarquable.

Dans  le milieu de la vape, le Red Astaire est un eliquide légendaire…
Chaque fois que je parle à un ami vapoteur et que l’on vient à parler de ce juice, à chaque fois,j’ai droit aux sempiternelles remarques : 

« Quoi ?! Tu n’as pas testé le Red Astaire ? Sérieusement ?  Ah le boulet ! Et tu te dis vapoteur ? Allez, sors de chez moi ou je te croque à la gorge! ».

Oui, je sais, j’ai des amis un brin « authentiques » mais il est vrai que le Red Astaire est une légende mondiale et grâce à Kitclope, j’ai pu aussi vaper le mythe et vous verrez par la suite pourquoi, pour moi, il va avoir une signification toute particulière…

Aux dires de la plupart des vapoteurs que je connais, le Red Astaire est digne des plus grands  tonics vendus par des marchands ambulants, à l’époque du Far-West :



« Attention mesdames et messieurs voici la « Jouvence Rouge » de l’abbé T-Juice !!! »

-         « Tu as du mal à vaper tes all-days ?
-         « Essaye le Red Astaire ! »


-         « Aucun des juices du marché ne trouve de grâce à tes yeux ?
-         Essaye le Red Astaire ! »


-         « Tu as besoin d’un air de vacances, de soleil, alors que tu es coincé dans une mine ?
-         Essaye le Red Astaire ! »


-         Tu créves de douleur car on t’a coupé une guibole et la morphine ne fait plus effet ?
-         Mais bordel ! Essaye le Red Astaire!

(pas super sûre pour le dernier, quoique…)

Non sérieusement, c’est sûrement le liquide sur lequel j’ai le plus entendu de bien  à travers le monde et généralement quand tout le monde dit que c’est génial, ben j’ai une fâcheuse tendance à me méfier…
Bon mais fini les blabla, passons au test…




Dés l’ouverture du colis, je suis frappé par la couleur rouge vif du eliquide…
C’est sympa et original. Par contre, à l’ouverture du flacon, on oublie de suite le « sympa » et on tombe dans le franchement enivrant !
C’est fort et j’adore çà ! Le fruit est bien présent ! Le raisin bien mur, les fruits rouges, la canneberge, le tout légèrement relevé par une touche d’anis.

Les mains tremblantes, j’approche le drip tip des lèvres et tout un tas d’idées me parcourent l’esprit…

« Et si j’adore ? C’est que ça sent bon quand même…Suis-je devenu, à 34 ans, un mouton, un suiveur ? Comme tous, vais-je adorer et me plier au lois divines du consumérisme ?!
Allez ! On se ressaisit et on reste super critique, limite de mauvaise foi, comme d’hab quoi… »

Bon, et à la première bouffée…Toutes mes barrières tombent ! Ho bordel que c’est bon de suivre le mouvement ! C’est divin !!! C’est l ‘été dans ma bouche, dans mes poumons, dans mon âme ! Dieu que c’est bon ! Comment est-ce possible de superposer tant de goûts sans pour autant que tout cela ne se mélange dans une patia horrible ?! Non là, j’ai l’impression que tous ces petits fruits rentrent en rang d’oignons dans mes papilles.

Tout d’abord, les premiers de la classe : Le raisin gorgé de soleil, sucré à souhait et légèrement acidulé puis juste derrière, les fruits rouges, qui se bousculent légèrement et ce  chahutent avec la framboise et peut être bien la fraise des bois et en fin de vape, les « bad boys » du groupe, les gangsters quoi, l’anis et le menthol me fouettent la langue et me laissent un goût  «  rafraîchissement frais ». C’est de la bombe comme disent les mômes. J’ai vapé la moitié du flacon en  4 heures le premier jour. On ne se lasse pas…Jamais…

Par contre attention ! Le Red Astaire n’est pas un liquide pour les « pieds tendres ».
Il envoie du lourd Heavy Red ! Une rafale fruitée de M16 sur le palet ! Mais il n’a jamais été aussi bon d’être pris pour cible…

iclear 30 S utilisé pour les besoin de la photo, pour son côté "MachinGun"



Vous l’aurez tous compris, cher lecteurs, j’ai mon nouveau all-day!


Pour la petite histoire, je vais vous dévoiler pourquoi ce juice à une signification toute particulière pour moi…
Jeunes parents, cela fait des mois que j’essaye de convaincre ma tendre épouse de passer à la vape et de lâcher cette saloperie de tueuse  mais rien n’y fait. J’ai cherché comme un dingue le liquide qui s’approcherait le plus possible du tabac mais à chaque fois, la même sentence :

Trop sucré! Trop sec! Top charnu ! Trop timoré! Mais ça a le goût de navet ton truc là, tu veux me tuer ?!

Bref j’avais fini par baisser les bras…Puis le jour de mon test, j’entends :
« Tiens c’est marrant cette couleur, fais moi essayer. »
« Mais tu ne vas pas aimer c’est super fruité et…Ok ok, desserre ta clé de bras je te fais essayer !

« Hummm !! mais c’est délicieux ! J’adooore ! »
« Hein ?! Des mois de recherche sur des juices tabac pour finalement craquer sur « King Fruits » ?! Allez comprendre…

Depuis ce jour, grâce à Saint Xavier et Sœur Maria pleine de grâce de chez Kitclope, ma femme est devenue un vapoteuse 100% patentée !


Donc voilà, je profite de cet interlude personnel pour dédier ce clip musical à quelqu’un que je viens de nommer mais que je n’ai pas le plaisir de connaître de visu. Cette personne est, je l’imagine, comme le Red Astaire et comme ce morceau qui sent  bon l’été :  Suave, caliente, à son parfum, l’on imagine les terres du sud et les rythmes torrides et endiablés…pour toi ; ce morceau…




« Hein ! Quoi ?! Mais arrête chérie ! C’est à Xavier que je dédie ce morceau bien-sûr !!
Tu vois bien que c’est un prénom d’origine espagnole ! Mais si je te le ju…Je te le dis !
"Ola, me llamo Xavier" C'est chantant non?!
Regarde tout ces acteurs : Xavier Del Toro et tous les autres !



Hein ?! Ah oui le prénom…Ben tu vois, j’avais même pas fais gaffe…Alors toi, tout de suite, le titre de la chanson, c’est « Maria, Maria » donc forcement….Non non, allez prends le Istick, j’ai rempli le subtank de Red Astaire. Voilà… C’est bien…. Aspire par petite bouffées, voilà…Parfait tu commences à te calmer là…S’il te plait, maintenant pose le hachoir à viande et profite de ce liquide divin, gorgé de soleil...










dimanche 14 juin 2015

Dekang By IntelliVap : Les KaméhaméJuices




Un grand merci à Philippe de la boutique Intellivap (très gentil, poli sympa, ça ne m’étonnerais même pas qu’il soit beau gosse) qui m’a permis d’effectuer mon premier test de eliquide , sur une marque que je connaissais absolument pas : Dekang .


Pour la petite histoire Dekang est une entreprise chinoise créée en 2003 et implantée originairement dans la province du Yunnan. Dekang emploie aujourd'hui plus d’un millier de salariés et occupe plus de 25 000 m2 d'espace de production.

J’ai entendu de tout sur cette marque, c’est donc pour cela que je me suis auto- lavé le cerveau (un truc à la orange mécanique) avant d’effectuer le test pour être le plus neutre possible.
Philippe de chez Intellivap à eu la gentillesse de m’envoyer 3 eliquides :

-         Banana
-         Pear
-         CandyFloss

         (le tout en 6 mg)

Le premier matériel utilisé pour cette vape fut un vision Spinner v2 et un genitank mais le rendu des saveurs ne fut pas au rendez vous. J’ai donc utilisé par la suite mon istick couplé à mon  GS Air et là, fini la rigolade de gamin !


Commençons par le « Banana » qui, comme sont nom l’indique, évoque la douceur et la saveur de la  pêche de vigne… Non je déconne, bien-sûr que c’est la banane ! Alors au premières bouffées, on sent clairement le fruit. C’est une vapeur lourde, sucrée. Une banane bien mûre mais pas écœurante. C’est plaisant . Pas un all-day mais de temps en temps, après un dessert chocolaté …Le liquide tient ses promesses.


Ensuite vient la « Pear », là dés l’ouverture du flacon, on sait de suite ou l’on est. L’odeur suave de la poire williams envahie mon nez. Je me prends a rêver que le goût sera de même niveau…Pour le coup je suis un poil resté sur ma faim. Attention je ne dis pas qu’il n’est pas agréable mais l’odeur étais tellement divine que  même si la vape était sympatoche, elle reste un cran en dessous. Néanmoins une très bonne expérience.


Enfin le « Candy Floss » entendez par la là « barbe à papa »   de vos dimanches à la fête foraine de Monceau-les-Trois-Coquins  où vous avez dépensé 50 balles pour une grenouille géante pour votre fils qui l’a néanmoins traînée dans la boue 5 minutes plus tard…Je m’égare revenons à nos flacons. Donc là, pour le coup tout y est : l’odeur : Le sucre rose qui commence à caraméliser lentement et la vape aussi ! Dés la première bouffée, on revoit son enfance, les auto-tamponneuses, le tir aux pigeons et toutes ses belle arnaques qui on fait hurlé tonton Jaquo qui à juré de ne plus vous traîner nul part ! Non là, pour le coup, ce liquide n’est pas une arnaque ! La vape est dense, suave comme un clip de Barry White et délicieusement goûtue…


Alors loin de moi l’idée de faire un amalgame plus que douteux entre la chine et la japon mais comme pour ma photo d’intro, ces juices m’ont évoqué, bien malgré, moi mes mercredis enfantins passés devant mes mangas préférés!  Comme eux, déroutant au début, on veut néanmoins toujours connaître le déroulement et chaque semaine on attend fébrilement la suite !
Donc oui, cela m’évoque cela, non  sans une certaine émotion :



Pour conclure, c’est donc une très bonne expérience pour ma part, avec les eliquides Dekang.
 Comme quoi, il faut souvent tester par soi-même un juice pour se faire sa propre idée…


«  Ouai et donc tes tests à deux balles, ils me servent à quoi l’idiot du village ??! »
« Hein ?? C’est à moi que tu parles pépé ?? Ahhhhhh !!! Tu me déshonores devant mes millions de lecteurs là !! En plus hier soir, tu as déjà failli buter Krilin car il avait bouffé tous les ramens ! Non…  Je ne peux plus tolérer ça !!! »

« KAHHHH……..Mé……..HAAAAAA….Mé………HAAAAAAAAA!!!!!!!! »