Souvenirs : Passer à la cigarette électronique : semaine 3

Et voilà, enfin en vacances, en famille, dans un petit appartement...

Avantage, il y a une petite terrasse, inconvénient, elle n’ouvre que de l’intérieur. Du coup, l’année passée, je devais me faire enfermer sur la terrasse lors de mes pauses cigarettes.
Bon, ok cette année je me ferai également enfermer, mais plus à cause de la fumée du tabac, plutôt à cause du bruit du torrent coulant à 15 mètres de nos fenêtres.
Cette semaine, quasiment plus aucune cigarette roulée, la mutation s’opère le plus naturellement possible.

Ma femme est très agréablement surprise car je ne porte plus sur moi en permanence cette odeur de tabac et surtout, surtout, elle se rend compte que je respire beaucoup mieux et ne « siffle » plus pendant mon sommeil.
Par contre cette semaine sera aussi celle de ma première expérience négative avec la cigarette électronique : des fuites.

Dès notre première ballade en montagne, des fuites d’e-liquide surviennent, ce qui est très gênant.
Fuites au niveau de la jonction de l’atomiseur avec la batterie, mais également des remontées de liquide au niveau de la cartouche, ce qui est très désagréable étant donné que du coup le liquide rentre en contact avec mes lèvres, ce qui est sensé être « potentiellement » toxique.
Du coup, je prends le temps d’étudier comment fonctionne le truc. Au niveau de l’atomiseur, pas grand chose à faire, sur les modèles ego-T de base, il n’est pas démontable, par contre, j’arrive à nettoyer l’intérieur des cartouches (Tanks) en soufflant dedans et en rinçant avec de l’eau très chaude. Ensuite il faut faire sécher tout ça.
Ca n’a l’air de rien, mais quand vous êtes en train de dire au revoir à la cigarette, que pour l’instant tout se passait très bien, le moindre soucis, la moindre contrariété peut totalement détruire la dynamique du passage à l’e-cigarette.
Je profite d’un peu de connexion 3G pour faire quelques recherches avec mon téléphone portable et je comprends vite qu’il s’agit d’un problème connu : être secouée, renversée, subir des vibrations… La Ego-T, elle n’aime pas trop ça.

Comme quoi, le manque d’informations peut être très dommageable pour un produit. Si j’avais su ça avant de partir en vacances, je pense que j’aurais cherché des solutions. Seulement là, loin de tout, difficile d’y remédier.
Pas le choix, on va devoir faire avec et donc redoubler de prudence pour le transport pour éviter les fuites.

La seule solution trouvée pendant les vacances : lors de transports ou de ballades, je retire le tank de l’atomiseur et je replace dessus le capuchon silicone présent sur les tanks neuf pour le refermer hermétiquement. Je nettoie l’atomiseur et range tout ça dans une pochette.
Quand j’ai envie de fumer, je replace le Tank et hop, je vapote.

A part, ça, rien de particulièrement notable cette semaine, je peux dire que je suis déjà devenu vapoteur...

Gorilla de Alien Visions : La Vape de la Jungle

Bon…Une fois n’est pas coutume, je viens de me taper une mega honte…

Moi qui arrive tout fier avec mon super article sur du matériel qui…date au moins de la guerre froide ! Remarque j’aurais du sentir l’entourloupe  Stardust vs Kanger…il fallait bien-sur y voir une critique sous-jacente du conflit américano-russe pardi !!  Plus sérieusement, un grand merci à mon amie Aline mais surtout plusieurs membres facebook, spécialisés dans la vape, qui sans jamais me prendre de haut, m’ont expliqué gentiment :  écoute gamin t’es gentil avec ton matos de bouseux mais tu va me faire une mise à jour vite fait et que çà saute !

Je plaisante mais sérieusement grâce à eux j’ai pu développer mes connaissances   toutes juvéniles sur la vape  et investir dans le matos adéquat (un merci spécial à  Arnaud Mazaud, ultra gentil, qui m’a conseillé du super matériel à moindre coût qui est actuellement en commande).

Donc après ce « méa culpa » je vais pouvoir passer à mon test, pour celui-ci j’utilise du matos prêté en attendant le mien : un vieux mod de 10 w + mini subtank…

Rentrons dans le vif du sujet : Voici mon test sur le juice Gorilla de chez ALIEN VISIONS

Pour bon nombres de vapoteurs que je connais, ce liquide est le must du must…

Dés l’ouverture du flacon on comprends que ce n’est pas un eliquide pour les petites frappes ( oui moi j’en suis une mais je m’améliore bordel !! ) L’odeur est lourde sucrée et enivrante. On sent de suite la banane. Je ne sais pas si le nom Gorrilla est bien choisi moi qui croyais depuis «  The Flash »  que les gorilles détestaient les bananes…

Revenons à nos moutons ou plutôt nos primates, le e-liquide Gorilla de Alien Vision est la deuxième star de la marque américaine culte,  rien d’étonnant puisqu’il s’agit du Boba’s Bounty avec une teinte de banane mûr, bien mûr trop mûr à mon goût…Non j’ai pas dis pourrie !! Un peu blette tout au plus mais moi qui aime les bananes limites vertes, je trouve le goût un peu trop appuyé.

Le résultat est surprenant ! Le gorilla juice est un tabac gourmand complexe et riche en arômes ce qui lui donne un goût bien caractéristique. On comprend pourquoi ce juice  est très prisé. Il s’agit d’un eliquide phare de la gamme alien vision.

En ce qui me concerne, à la première bouffée je trouve ça super écœurant, trop d’arômes se mélangent, c’est complexe, limite dérangeant… A la quatrième, je trouve ça un poil plus doux  j’arrive a discerner les différents arômes tous très capiteux, à la dixième je suis conquis, j’adore c’est souple et solide à la fois ( non non pas tout à fait comme le papier toilette, rien à voir en fait ). Non sérieusement c’est délicieux, le hit en gorge et surprenant pour un 6 mg , en fin de journée j’avais vapoté la moitié de la fiole…

La première idée musicale que j’ai eu en le testant  sûrement a cause du nom mais aussi parce que comme cette musique, à la première écoute on trouve ça bof mais en y revenant, on note la rythmique parfaitement calée et le son lourd, entêtant et hypnotique …

Point essentiel ce e-liquide Alien Visions est full VG : 100% Glycérine végétale; idéal pour avoir une vapeur très dense.

Vous l’aurez compris, le Gorrilla est un juice puissant qui nécessite un très léger temps d’adaptation mais qui au final, s’avère être indispensable…

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Arrêt du Kanger T2 je repasse au Stardust

Pour information, le Kanger T2 et le Stardust sont des « tête » de cigarette électronique de la famille des clearomiseurs : réservoir de liquide dans lequel baignent des mèches qui apportent le liquide à la résistance, ils sont connus pour leur très bon rendu et leur volume de fumée. Promis je commence un Lexique ASAP.

Après une semaine d’usage intensif du kanger t2 , je décide de repasser au stardust, du moins temporairement, le temps de tester quelque chose.
Soyons clair, le kanger, il balance, bien, fort, peut être trop finalement.
Sur mon modèle, la fumée est très chaude, tellement chaude que je me suis quasi brûlé les lèvres plusieurs fois, en fait à l’intérieur de la bouche, là ou la fumée rentre, en pinçant un peu trop, la fumée qui sort tout juste du tip en rentrée plusieurs fois en contact direct avec la peau de l’intérieur de la lèvre.

Bilan, après une semaine, j’ai de petites blessures du côté que j’utilise le plus pour vapoter, ça se sent en passant la langue dessus.

Autre point « négatif », ça finit par m’irriter les bronches, encore une fois je ne sais pas si ça vient de la chaleur de la fumée, du volume ou du fait que j’ai beaucoup tiré dessus (quand c’est bon hein…) mais une chose est claire : mes bronches sont irritées et je ressens une gêne à la fois différente et proche de ce que je ressentais mes dernières semaines de fumeur.
Le plaisir est clairement là, et pour l’instant incomparable avec tous les autres systèmes testés.
Mais si c’est au détriment des bénéfices récents liés à mon passage à la vapote, c’est niet, nada.
Donc pour l »instant, je repasse au stardust pour quelques jours pour voir si ça s’arrange au niveau des bronches et si ce n’est pas le cas, je repasserai à l’atomiseur + tank du système de base de l’EGO T.
Et si ça semble ne pas venir des atomiseurs, alors va peut être falloir changer d’e-liquides, qui sait...

Souvenir : Passer à la cigarette électronique : semaine 2

Et oui, déjà la semaine 2, tout simplement parce que comme je l’ai déjà expliqué, ces quelques articles sont une sorte de  rétrospective de mon commencement dans la vape..
En fait, je commence la semaine 2 à partir du lundi, bien que je n’ai commencé à « vapoter » que depuis le mercredi passé. Ce sera plus simple pour moi de passer d’un lundi à un autre pour compter les semaines.
Événement notable, ma femme et mes enfants partent en vacance une semaine avant moi, cette information a pour moi son importance, car bien que je ne fume pas dans la maison, même quand ma famille est absente, j’ai toujours tendance à plus fumer pendant ces périodes. Ce sera donc un bon test.
En fait, il n’y a pas eu de réel test, je dois bien avouer que j’ai de plus en plus de mal à fumer mes cigarettes roulées.
Comme je l’ai expliqué dans l’article précédent, j’ai essayé très rapidement de limiter le nombre de cigarettes fumées dans la journée pour remplacer les cigarettes non « plaisir » par la cigarette électronique.
Force est de constater que j’ai de plus en plus de difficulté à prendre du plaisir à fumer mes bonnes vieilles roulées :

• Je trouve qu’elles me laissent un goût de savon dans la bouche
• J’ai l’impression de devoir « tirer » dessus comme un fou pour avoir une fumée potable
• Je trouve ça de plus en plus « sale » : cendres, mégots…

En fait, je suis surpris par la vitesse à laquelle la cigarette électronique remplace mes roulées et ce, sans que je n’ai planifié quoi que ce soit.
Il faut dire que j’ai déjà l’impression de mieux respirer, je n’ai pas de manque réel, tout se passe bien.
Petit à petit, j’en viens à ne quasiment plus fumer de cigarettes, seule la première de la journée trouve encore grâce à mes yeux, probablement parce que je n’ai encore rien fumé d’autre avant et qu’elle me procure le shoot de nicotine matinal bien connu des fumeurs.
Je décide donc de ne pas brusquer les choses mais d’essayer quand même de commencer la journée avec l’e-cig, quitte à me prendre quand même une roulée si le besoin s’en fait sentir.
Il faut avouer que j’ai encore bien du mal à me passer de cette première cigarette de la journée.

Mardi : test en extérieur, je dois aller faire des course en ville.

Test pas très concluant, je me sens un peu comme un extra terrestre avec ma e-cig à la bouche, j’ai le réflexe de me « cacher » pour fumer, un peu comme si j’étais en train de faire un truc « pas normal ».

Le mercredi soir, test important : soirée entre amis.

Je me dis cool, en plus je ne vais pas être le seul vapoteur. Pas de chance, mon ami vapoteur est venu sans sa e-cig, mais avec un paquet de cigarettes…
Ca se passe plutôt bien, je fume quand même 3 ou 4 cigarettes dans la soirée, mais rien de comparable avec une soirée classique où l’on peut fumer l’équivalent d’un paquet de blondes. Tout ce qui n’est pas fumé est vapoté.
Seul côté négatif, ça donne envie aux autres de fumer. Et oui, on ne fume pas à l’intérieur de la maison, mais moi je peux vapoter. Et là, il faut avouer que c’est dur pour les autres fumeurs de vous voir tirer sur votre cigarette électronique tranquillement dans le canapé alors qu’eux doivent sortir pour fumer.

Vendredi, je prends le train pour rejoindre ma famille en vacances.

Bien que je sais que potentiellement j’en ai le droit, je n’ai pas essayé de fumer dans le train, pourtant la journée est longue, presque 6 heures de train avec de multiples correspondances.
J’ai décidé de n’emmener avec moi que mon matériel de cigarette électronique et un fond de paquet de tabac à rouler, des fois que.
Tout au long de la journée je n’ai fait que vapoter ou presque, une petite entorse en terrasse d’un café, j’ai encore du mal à vapoter en public, je sais c’est con, mais c’est comme ça.
En fin de journée, je retrouve ma famille, ma femme est contente de l’évolution des choses, elle trouve également que je respire mieux alors qu’on s’est quittés il y a à peine quelques jours.
Le week end se passe bien, et comme on loue un appartement avec seulement une petite terrasse, je décide de ne plus prendre ma cigarette du matin, mais de vapoter à la place. On va voir dans les prochains jours si ça tient...

Et oui, déjà la semaine 2, tout simplement parce que comme je l’ai déjà expliqué, ça fait déjà plus d’un mois que je suis passé à l’e-cig mais comme je n’ai pas commencé ce blog tout de suite, je fais quelques articles de rétrospective des semaines passées.
En fait, je commence la semaine 2 à partir du lundi, bien que je n’ai commencé à « vapoter » que depuis le mercredi passé. Ce sera plus simple pour moi de passer d’un lundi à un autre pour compter les semaines.
Événement notable, ma femme et mes enfants partent en vacance une semaine avant moi, cette information a pour moi son importance, car bien que je ne fume pas dans la maison, même quand ma famille est absente, j’ai toujours tendance à plus fumer pendant ces périodes. Ce sera donc un bon test.
En fait, il n’y a pas eu de réel test, je dois bien avouer que j’ai de plus en plus de mal à fumer mes cigarettes roulées.
Comme je l’ai expliqué dans l’article précédent, j’ai essayé très rapidement de limiter le nombre de cigarettes fumées dans la journée pour remplacer les cigarettes non « plaisir » par la cigarette électronique.
Force est de constater que j’ai de plus en plus de difficulté à prendre du plaisir à fumer mes bonnes vieilles roulées :

• Je trouve qu’elles me laissent un goût de savon dans la bouche
• J’ai l’impression de devoir « tirer » dessus comme un fou pour avoir une fumée potable
• Je trouve ça de plus en plus « sale » : cendres, mégots…

En fait, je suis surpris par la vitesse à laquelle la cigarette électronique remplace mes roulées et ce, sans que je n’ai planifié quoi que ce soit.
Il faut dire que j’ai déjà l’impression de mieux respirer, je n’ai pas de manque réel, tout se passe bien.
Petit à petit, j’en viens à ne quasiment plus fumer de cigarettes, seule la première de la journée trouve encore grâce à mes yeux, probablement parce que je n’ai encore rien fumé d’autre avant et qu’elle me procure le shoot de nicotine matinal bien connu des fumeurs.
Je décide donc de ne pas brusquer les choses mais d’essayer quand même de commencer la journée avec l’e-cig, quitte à me prendre quand même une roulée si le besoin s’en fait sentir.
Il faut avouer que j’ai encore bien du mal à me passer de cette première cigarette de la journée.

Mardi : test en extérieur, je dois aller faire des course en ville.

Test pas très concluant, je me sens un peu comme un extra terrestre avec ma e-cig à la bouche, j’ai le réflexe de me « cacher » pour fumer, un peu comme si j’étais en train de faire un truc « pas normal ».

Le mercredi soir, test important : soirée entre amis.

Je me dis cool, en plus je ne vais pas être le seul vapoteur. Pas de chance, mon ami vapoteur est venu sans sa e-cig, mais avec un paquet de cigarettes…
Ca se passe plutôt bien, je fume quand même 3 ou 4 cigarettes dans la soirée, mais rien de comparable avec une soirée classique où l’on peut fumer l’équivalent d’un paquet de blondes. Tout ce qui n’est pas fumé est vapoté.
Seul côté négatif, ça donne envie aux autres de fumer. Et oui, on ne fume pas à l’intérieur de la maison, mais moi je peux vapoter. Et là, il faut avouer que c’est dur pour les autres fumeurs de vous voir tirer sur votre cigarette électronique tranquillement dans le canapé alors qu’eux doivent sortir pour fumer.

Vendredi, je prends le train pour rejoindre ma famille en vacances.

Bien que je sais que potentiellement j’en ai le droit, je n’ai pas essayé de fumer dans le train, pourtant la journée est longue, presque 6 heures de train avec de multiples correspondances.
J’ai décidé de n’emmener avec moi que mon matériel de cigarette électronique et un fond de paquet de tabac à rouler, des fois que.
Tout au long de la journée je n’ai fait que vapoter ou presque, une petite entorse en terrasse d’un café, j’ai encore du mal à vapoter en public, je sais c’est con, mais c’est comme ça.
En fin de journée, je retrouve ma famille, ma femme est contente de l’évolution des choses, elle trouve également que je respire mieux alors qu’on s’est quittés il y a à peine quelques jours.
Le week end se passe bien, et comme on loue un appartement avec seulement une petite terrasse, je décide de ne plus prendre ma cigarette du matin, mais de vapoter à la place. On va voir dans les prochains jours si ça tient.
- See more at: http://web.archive.org/web/20140426153551/http://nouveau-vapoteur.com/semaine-2.html#sthash.GyA9QK4P.dpu

Et oui, déjà la semaine 2, tout simplement parce que comme je l’ai déjà expliqué, ça fait déjà plus d’un mois que je suis passé à l’e-cig mais comme je n’ai pas commencé ce blog tout de suite, je fais quelques articles de rétrospective des semaines passées.
En fait, je commence la semaine 2 à partir du lundi, bien que je n’ai commencé à « vapoter » que depuis le mercredi passé. Ce sera plus simple pour moi de passer d’un lundi à un autre pour compter les semaines.
Événement notable, ma femme et mes enfants partent en vacance une semaine avant moi, cette information a pour moi son importance, car bien que je ne fume pas dans la maison, même quand ma famille est absente, j’ai toujours tendance à plus fumer pendant ces périodes. Ce sera donc un bon test.
En fait, il n’y a pas eu de réel test, je dois bien avouer que j’ai de plus en plus de mal à fumer mes cigarettes roulées.
Comme je l’ai expliqué dans l’article précédent, j’ai essayé très rapidement de limiter le nombre de cigarettes fumées dans la journée pour remplacer les cigarettes non « plaisir » par la cigarette électronique.
Force est de constater que j’ai de plus en plus de difficulté à prendre du plaisir à fumer mes bonnes vieilles roulées :

• Je trouve qu’elles me laissent un goût de savon dans la bouche
• J’ai l’impression de devoir « tirer » dessus comme un fou pour avoir une fumée potable
• Je trouve ça de plus en plus « sale » : cendres, mégots…

En fait, je suis surpris par la vitesse à laquelle la cigarette électronique remplace mes roulées et ce, sans que je n’ai planifié quoi que ce soit.
Il faut dire que j’ai déjà l’impression de mieux respirer, je n’ai pas de manque réel, tout se passe bien.
Petit à petit, j’en viens à ne quasiment plus fumer de cigarettes, seule la première de la journée trouve encore grâce à mes yeux, probablement parce que je n’ai encore rien fumé d’autre avant et qu’elle me procure le shoot de nicotine matinal bien connu des fumeurs.
Je décide donc de ne pas brusquer les choses mais d’essayer quand même de commencer la journée avec l’e-cig, quitte à me prendre quand même une roulée si le besoin s’en fait sentir.
Il faut avouer que j’ai encore bien du mal à me passer de cette première cigarette de la journée.

Mardi : test en extérieur, je dois aller faire des course en ville.

Test pas très concluant, je me sens un peu comme un extra terrestre avec ma e-cig à la bouche, j’ai le réflexe de me « cacher » pour fumer, un peu comme si j’étais en train de faire un truc « pas normal ».

Le mercredi soir, test important : soirée entre amis.

Je me dis cool, en plus je ne vais pas être le seul vapoteur. Pas de chance, mon ami vapoteur est venu sans sa e-cig, mais avec un paquet de cigarettes…
Ca se passe plutôt bien, je fume quand même 3 ou 4 cigarettes dans la soirée, mais rien de comparable avec une soirée classique où l’on peut fumer l’équivalent d’un paquet de blondes. Tout ce qui n’est pas fumé est vapoté.
Seul côté négatif, ça donne envie aux autres de fumer. Et oui, on ne fume pas à l’intérieur de la maison, mais moi je peux vapoter. Et là, il faut avouer que c’est dur pour les autres fumeurs de vous voir tirer sur votre cigarette électronique tranquillement dans le canapé alors qu’eux doivent sortir pour fumer.

Vendredi, je prends le train pour rejoindre ma famille en vacances.

Bien que je sais que potentiellement j’en ai le droit, je n’ai pas essayé de fumer dans le train, pourtant la journée est longue, presque 6 heures de train avec de multiples correspondances.
J’ai décidé de n’emmener avec moi que mon matériel de cigarette électronique et un fond de paquet de tabac à rouler, des fois que.
Tout au long de la journée je n’ai fait que vapoter ou presque, une petite entorse en terrasse d’un café, j’ai encore du mal à vapoter en public, je sais c’est con, mais c’est comme ça.
En fin de journée, je retrouve ma famille, ma femme est contente de l’évolution des choses, elle trouve également que je respire mieux alors qu’on s’est quittés il y a à peine quelques jours.
Le week end se passe bien, et comme on loue un appartement avec seulement une petite terrasse, je décide de ne plus prendre ma cigarette du matin, mais de vapoter à la place. On va voir dans les prochains jours si ça tient.
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Test E-liquide Malibu de chez Halo : L' Autobronzant pour vos Papilles

Voici mon premier test (et non le moindre) de e-liquide.

Le Malibu de chez Halo :  L'Autobronzant pour vos Papilles

Ce liquide fut pour moi une révélation, celui qui me réconcilia avec la vape…

A force de traîner les forums un jour je suis tombé sur une review bien sympa  sur ce fameux liquide… le genre de test, tu te dis : Sois ce e-liquide est énorme soit le gars qui à fait le test c’est gober des champis juste avant et en fait c’est supra dégeulasse…

Apres ma propre expérience, force est de constater que le testeur était bien plus lucide que ce que j’aurai cru…

Déjà à l’ouverture du flacon ( mon premier était un 7 ml faisant partie d’un pack découverte de Halo…Le 30 ml à suivi la semaine d’après…) c’est l’explosion olfactive : l’ananas mûr à souhait bien présent,  la coco délicieusement sucrée…ma première pensée ? : putain si j’avais un peu de schweppes au frais…Mais non t’es trop con, tu va clamser si tu te siffles ça !

Bon ; une fois mes esprits retrouvés, je remplis mon atomiseur et commence ma vape…

La première bouffée est sympa, l’ananas est présent en bouche comme au nez, ce goût se mélange subtilement avec la noix de coco et un soupçon de vanille. Le tout me fait penser à une merveilleuse pina-colada avec une fraîcheur mentholée en note finale.

Là pour moi, c’est l’explosion…Je vois la plage, le sable, l’air marin, le soleil qui tanne mon corps musculeux, oui, je ne parle pas souvent de moi, par pudeur sûrement, par crainte de susciter trop d’envies évidemment…Enfin bref revenons à notre parasol. Ce liquide m’a reconverti a la vape en une seule et unique bouffée ! Ma première pensée :  Bordel les mecs de chez Halo, ils arrivent à mettre tous ça dans une vapeur ?? C’est des putains de magiciens en fait…Ou alors…les salauds, ils ont foutu de la met’ dedans et je suis en train de tripper grave !!!!!

Apres le test de mon collègue chimiste ( et fier de l’être)  ce e-liquide ne dispose d’aucun ingrédients illicites …Juste le savoir faire des « maîtres vapeurs »

  Composition:

-         45 % glycérine végétale

-         55 % de propylène glycol

-         Arômes alimentaires

-         Arômes de fumée alimentaire

-         Eau pure

-         Alcool

-         Nicotine

Vous l’aurez compris, je suis devenu mega fan de ce e-liquide qui est mon all-day depuis bien longtemps.

Je vais aussi prendre une habitude lors de mes tests de e-liquides. Vous dire ce à quoi me il me fait penser dés la première bouffée… Bon, dans ce cas précis, je ne sais pas ce que j’ai eu, peut être ais-je fais un mini avc car voici la première musique qui m’est venue en tête au moment du test…Moi…grand fan de musique funk devant l’éternel…Bon mais faut dire aussi que le film était pas mal non ? Puis il y a quand même Dicaprio dedans bordel !!   Pardon d’avance…

Alors avec les beaux jours qui arrivent ; messieurs, on rase ces vielles barbes de hipster, on se laisse une petite moustache californienne, on gonfle les pecs  et on ressort les veilles planches de body-board en polystyrène. Mesdames on fait péter le bikini et son sac a dos « I love L.A » on rempli son atomiseur de ce délicieux nectar et on « chill » tranquillement façon California…

Ne brûlez pas les étapes

Je crois qu’une des premières erreurs que l’on peut faire quand on passe à la cigarette électronique est de ne pas se contenter de ce que l’on a.
En gros, on passe à autre chose, mais on se raccroche quand même à ce que l’on avait avant : on veut se rapprocher le plus possible des sensations de la cigarette.
On trouve maintenant beaucoup d’informations sur la cigarette électronique sur internet, peut-être même trop.

Ça ne fait pas longtemps que je m’intéresse au sujet, mais j’ai pu constater qu’un grand nombre de participants sur les divers forums sont de grands passionnés.
Et les passionnés, testent, recherchent le saint graal : Plus de fumée, plus de « hit » (va falloir penser à faire un petit lexique), plus de goût, bref le produit parfait.
Alors ça teste, des batteries, des atomiseurs, des cartomiseurs, des clearomiseurs, des tanks, des drip tips, etc…

Et vous aussi, vous aurez envie d’essayer, c’est tentant.

Ca fonctionne bien, mais est-ce que ça pourrait fonctionner « mieux » ?

Et là, je pense qu’en tant que débutant, c’est une erreur.
Si votre cigarette électronique, quelle qu’elle soit, quel que soit son système, vous convient, fait bien son boulot, pourquoi chercher tout de suite plus.
Il ne faut pas oublier qu’un même matériel, portant le même nom, peut être produit par des sociétés plus ou moins sérieuses et s’il a fonctionné pour quelqu’un d’autre, il est possible que ce que vous recevez ne fonctionne pas, et dans un processus de passage de la cigarette à la vapote, la moindre frustration peut tout foutre en l’air.

Allez-y doucement, continuez à utiliser votre matériel, et quand vous serez vraiment passés à la vapote, vous pourrez essayer d’autres choses, des systèmes évolués.
Je pense que si vous devez réellement tester quelque chose dans un premier temps, si votre e-cigarette ne vous donne pas entière satisfaction, ce sont des e-liquides différents, car à mon avis, trouver le ou les e-liquides qui vous conviennent, c’est ça qui vous fera passer à la vapote, pas le dernier super clearomiseur Tank de la mort qui tue tellement il déchire sa race.
Bien sur, une fois que vous avez apprivoisé la bête, rien ne vous empêche de tenter des expériences.  ;)

e crois qu’une des premières erreurs que l’on peut faire quand on passe à la cigarette électronique est de ne pas se contenter de ce que l’on a.
En gros, on passe à autre chose, mais on se raccroche quand même à ce que l’on avait avant : on veut se rapprocher le plus possible des sensations de la cigarette.
On trouve maintenant beaucoup d’informations sur la cigarette électronique sur internet, peut-être même trop.
Ca ne fait pas longtemps que je m’intéresse au sujet, mais j’ai pu constater qu’un grand nombre de participants sur les divers forums sont de grands passionnés.
Et les passionnés, testent, recherchent le saint graal : Plus de fumée, plus de « hit » (va falloir penser à faire un petit lexique), plus de goût, bref le produit parfait.
Alors ça teste, des batteries, des atomiseurs, des cartomiseurs, des clearomiseurs, des tanks, des drip tips, etc…
Et vous aussi, vous aurez envie d’essayer, c’est tentant.

Ca fonctionne bien, mais est-ce que ça pourrait fonctionner « mieux » ?

Et là, je pense qu’en tant que débutant, c’est une erreur.
Si votre cigarette électronique, quelle qu’elle soit, quel que soit son système, vous convient, fait bien son boulot, pourquoi chercher tout de suite plus.
Il ne faut pas oublier qu’un même matériel, portant le même nom, peut être produit par des sociétés plus ou moins sérieuses et s’il a fonctionné pour quelqu’un d’autre, il est possible que ce que vous recevez ne fonctionne pas, et dans un processus de passage de la cigarette à la vapote, la moindre frustration peut tout foutre en l’air.
Allez-y doucement, continuez à utiliser votre matériel, et quand vous serez vraiment passés à la vapote, vous pourrez essayer d’autres choses, des systèmes évolués.
Je pense que si vous devez réellement tester quelque chose dans un premier temps, si votre e-cigarette ne vous donne pas entière satisfaction, ce sont des e-liquides différents, car à mon avis, trouver le ou les e-liquides qui vous conviennent, c’est ça qui vous fera passer à la vapote, pas le dernier super clearomiseur Tank de la mort qui tue tellement il déchire sa race.
Bien sur, une fois que vous avez apprivoisé la bête, rien ne vous empêche de tenter des expériences.
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e crois qu’une des premières erreurs que l’on peut faire quand on passe à la cigarette électronique est de ne pas se contenter de ce que l’on a.
En gros, on passe à autre chose, mais on se raccroche quand même à ce que l’on avait avant : on veut se rapprocher le plus possible des sensations de la cigarette.
On trouve maintenant beaucoup d’informations sur la cigarette électronique sur internet, peut-être même trop.
Ca ne fait pas longtemps que je m’intéresse au sujet, mais j’ai pu constater qu’un grand nombre de participants sur les divers forums sont de grands passionnés.
Et les passionnés, testent, recherchent le saint graal : Plus de fumée, plus de « hit » (va falloir penser à faire un petit lexique), plus de goût, bref le produit parfait.
Alors ça teste, des batteries, des atomiseurs, des cartomiseurs, des clearomiseurs, des tanks, des drip tips, etc…
Et vous aussi, vous aurez envie d’essayer, c’est tentant.

Ca fonctionne bien, mais est-ce que ça pourrait fonctionner « mieux » ?

Et là, je pense qu’en tant que débutant, c’est une erreur.
Si votre cigarette électronique, quelle qu’elle soit, quel que soit son système, vous convient, fait bien son boulot, pourquoi chercher tout de suite plus.
Il ne faut pas oublier qu’un même matériel, portant le même nom, peut être produit par des sociétés plus ou moins sérieuses et s’il a fonctionné pour quelqu’un d’autre, il est possible que ce que vous recevez ne fonctionne pas, et dans un processus de passage de la cigarette à la vapote, la moindre frustration peut tout foutre en l’air.
Allez-y doucement, continuez à utiliser votre matériel, et quand vous serez vraiment passés à la vapote, vous pourrez essayer d’autres choses, des systèmes évolués.
Je pense que si vous devez réellement tester quelque chose dans un premier temps, si votre e-cigarette ne vous donne pas entière satisfaction, ce sont des e-liquides différents, car à mon avis, trouver le ou les e-liquides qui vous conviennent, c’est ça qui vous fera passer à la vapote, pas le dernier super clearomiseur Tank de la mort qui tue tellement il déchire sa race.
Bien sur, une fois que vous avez apprivoisé la bête, rien ne vous empêche de tenter des expériences.
- See more at: http://web.archive.org/web/20140703021941/http://nouveau-vapoteur.com/bruler-etapes.html#sthash.3TdMxB2q.dpuf

e crois qu’une des premières erreurs que l’on peut faire quand on passe à la cigarette électronique est de ne pas se contenter de ce que l’on a.
En gros, on passe à autre chose, mais on se raccroche quand même à ce que l’on avait avant : on veut se rapprocher le plus possible des sensations de la cigarette.
On trouve maintenant beaucoup d’informations sur la cigarette électronique sur internet, peut-être même trop.
Ca ne fait pas longtemps que je m’intéresse au sujet, mais j’ai pu constater qu’un grand nombre de participants sur les divers forums sont de grands passionnés.
Et les passionnés, testent, recherchent le saint graal : Plus de fumée, plus de « hit » (va falloir penser à faire un petit lexique), plus de goût, bref le produit parfait.
Alors ça teste, des batteries, des atomiseurs, des cartomiseurs, des clearomiseurs, des tanks, des drip tips, etc…
Et vous aussi, vous aurez envie d’essayer, c’est tentant.

Ca fonctionne bien, mais est-ce que ça pourrait fonctionner « mieux » ?

Et là, je pense qu’en tant que débutant, c’est une erreur.
Si votre cigarette électronique, quelle qu’elle soit, quel que soit son système, vous convient, fait bien son boulot, pourquoi chercher tout de suite plus.
Il ne faut pas oublier qu’un même matériel, portant le même nom, peut être produit par des sociétés plus ou moins sérieuses et s’il a fonctionné pour quelqu’un d’autre, il est possible que ce que vous recevez ne fonctionne pas, et dans un processus de passage de la cigarette à la vapote, la moindre frustration peut tout foutre en l’air.
Allez-y doucement, continuez à utiliser votre matériel, et quand vous serez vraiment passés à la vapote, vous pourrez essayer d’autres choses, des systèmes évolués.
Je pense que si vous devez réellement tester quelque chose dans un premier temps, si votre e-cigarette ne vous donne pas entière satisfaction, ce sont des e-liquides différents, car à mon avis, trouver le ou les e-liquides qui vous conviennent, c’est ça qui vous fera passer à la vapote, pas le dernier super clearomiseur Tank de la mort qui tue tellement il déchire sa race.
Bien sur, une fois que vous avez apprivoisé la bête, rien ne vous empêche de tenter des expériences.
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e crois qu’une des premières erreurs que l’on peut faire quand on passe à la cigarette électronique est de ne pas se contenter de ce que l’on a.
En gros, on passe à autre chose, mais on se raccroche quand même à ce que l’on avait avant : on veut se rapprocher le plus possible des sensations de la cigarette.
On trouve maintenant beaucoup d’informations sur la cigarette électronique sur internet, peut-être même trop.
Ca ne fait pas longtemps que je m’intéresse au sujet, mais j’ai pu constater qu’un grand nombre de participants sur les divers forums sont de grands passionnés.
Et les passionnés, testent, recherchent le saint graal : Plus de fumée, plus de « hit » (va falloir penser à faire un petit lexique), plus de goût, bref le produit parfait.
Alors ça teste, des batteries, des atomiseurs, des cartomiseurs, des clearomiseurs, des tanks, des drip tips, etc…
Et vous aussi, vous aurez envie d’essayer, c’est tentant.

Ca fonctionne bien, mais est-ce que ça pourrait fonctionner « mieux » ?

Et là, je pense qu’en tant que débutant, c’est une erreur.
Si votre cigarette électronique, quelle qu’elle soit, quel que soit son système, vous convient, fait bien son boulot, pourquoi chercher tout de suite plus.
Il ne faut pas oublier qu’un même matériel, portant le même nom, peut être produit par des sociétés plus ou moins sérieuses et s’il a fonctionné pour quelqu’un d’autre, il est possible que ce que vous recevez ne fonctionne pas, et dans un processus de passage de la cigarette à la vapote, la moindre frustration peut tout foutre en l’air.
Allez-y doucement, continuez à utiliser votre matériel, et quand vous serez vraiment passés à la vapote, vous pourrez essayer d’autres choses, des systèmes évolués.
Je pense que si vous devez réellement tester quelque chose dans un premier temps, si votre e-cigarette ne vous donne pas entière satisfaction, ce sont des e-liquides différents, car à mon avis, trouver le ou les e-liquides qui vous conviennent, c’est ça qui vous fera passer à la vapote, pas le dernier super clearomiseur Tank de la mort qui tue tellement il déchire sa race.
Bien sur, une fois que vous avez apprivoisé la bête, rien ne vous empêche de tenter des expériences.
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Comment ça fonctionne une cigarette électronique ?

Je vais tenter de  répondre de manière simple, parce que dans le fond, ce n’est pas très compliqué. Pour rappel, j’écris principalement pour des débutants ou des personnes s’intéressant au sujet.
En résumé, une cigarette électronique, c’est :

• Une batterie pour l’électricité
• Un dispositif de chauffe (alimenté par la batterie)
• Un réservoir pour le liquide
• Du liquide (e-liquide)

Voilà, vous voyez, ce n’est pas très compliqué, maintenant je vais aller un peu plus loin.

Les batteries pour cigarettes électroniques :

Par défaut dans le petit monde le l’e-cigarette, on appelle batterie la partie de la cigarette électronique contenant les accus, et le dispositif « d’allumage » de l’électricité.
Elles sont rechargeables, sauf pour les cigarettes jetables.

Batteries automatiques :

On trouve les batteries automatiques sur la plupart des modèles ressemblant à des cigarettes classiques. On les appelle « automatiques » car elles détectent quand vous « tirez » sur votre cigarette électronique et alimentent automatiquement le dispositif de chauffe en électricité sans que vous n’ayez rien d’autre à faire qu’aspirer.
Elles sont en général pourvues d’un dispositif lumineux pour indiquer quand elles sont actives : le fameux faux bout rougeoyant (parfois bleu) au bout de la cigarette électronique.

Batteries manuelles :

On trouve les batteries manuelles en général sur des modèles de cigarettes électroniques plus évoluées (peu importe la taille). On les appelle « manuelles » car elles nécessitent une action de votre part pour faire alimenter en électricité le dispositif de chauffe, souvent sous la forme d’un bouton sur lequel vous devez appuyer et qui s’allume pour indiquer l’activation.

Informations complémentaires sur les batteries :

Comme tout dispositif électrique rechargeable, elles ont une durée de vie limitée (quelques mois en général).
Plus la batterie est grosse, plus l’autonomie est importante : sur des modèles taille cigarette l’autonomie moyenne est de deux heures de « vape » en moyenne. Sur de plus gros modèles, on va plutôt vers les 4, 6 heures, etc.
Certaines batteries sont à voltage variable (un réglage en plus sur la batterie) pour s’adapter au dispositif de chauffe choisi. A réserver aux utilisateurs avancés.
Sur certains modèles de batteries, on peut changer les accus une fois qu’ils sont usés. Idem, en général ça concerne les utilisateurs avancés.

Les dispositifs de chauffe pour cigarettes électroniques :

Comme son nom l’indique, le dispositif de chauffe est là pour chauffer le l’eliquide et donc générer la fameuse « vapeur » des cigarettes électroniques : c’est le fameux atomiseur.
Je ne vais pas détailler ici le fonctionnement de l’atomiseur (il y en a trop de différents), sachez juste qu’il est alimenté en électricité par la batterie et en liquide par le réservoir de liquide.
Le mode de fonctionnement de l’atomiseur est directement lié au type de réservoir utilisé et d’ailleurs, bien souvent l’atomiseur et et le réservoir forment un seul et même « objet », on parle alors souvent de cartomiseur (cartouche + atomiseur).
Le liquide est apporté à l’atomiseur par différents moyens, mèches, aspiration, contact direct, se transforme en vapeur sous l’effet de la chaleur qui est ensuite aspirée par le vapoteur.
Certains atomiseurs peuvent être nettoyés, mais ils ont tous une durée de vie limitée (de quelques jours à quelques mois en fonction du modèle).
Sur les modèles de cigarettes électroniques les plus connus du grand public (celles qui ressemblent le plus à des cigarettes ), bien souvent le cartomiseur (atomiseur + cartouche) est jetable car la cartouche ne peut pas être rechargée.

Le réservoir d’e-liquide :

Encore une fois, il peut prendre de nombreuses formes et est bien souvent couplé avec l’atomiseur.

Cartouche à bourre :

Ce type de cartouches est le plus fréquent sur les modèles ressemblant à des cigarettes. Il s’agit en gros d’un tube contenant une bourre que l’on charge en e-liquide. Au centre se trouve un tube plus fin servant d’accès à l’atomiseur et de chemin pour la vapeur.
Couplé avec un atomiseur, on parle alors de cartomiseur.
La cartouche à bourre peut être rechargeable (avec son propre liquide), ou jetable (contenance moyenne équivalent à 10/15 cigarettes).

Cartouche sans bourre : (à défaut d’un autre nom)

Parfois appelée Tank, il s’agit d’un réservoir transparent que l’on remplit d’e-liquide. C’est ce type de système que l’on trouve sur les modèles de type Ego par défaut.

Les clearomiseurs :

Je les place dans les réservoirs, même si ils contiennent leur propre atomiseur. Il s’agit d’un réservoir de liquide avec une assez forte contenance. L’atomiseur se trouve dans un tube central, entouré du liquide qui est apporté à l’atomiseur par capillarité via des mèches trempant dans le liquide. On parle de clearomiseur car le tube contenant le liquide est transparent et on peut voir la quantité restante. Certains sont même gradués.

Le e-liquide :

Composé principalement de Propylène Glycol (PG) et/ou de Glycérine végétale (VG en anglais dans le texte) sous différents dosages (on parle de 70 /30, de 80/20, 50/50, 100% VG… pour parler de la proportion de ces deux produits dans votre e-liquide).
Ces deux produits ont la particularité de s’évaporer très rapidement quand ils sont chauffés, ils sont la base du secret de la vapeur des cigarettes électroniques.
Votre e-liquide contient ensuite différents produits, principalement des arômes alimentaires, et peut contenir différents dosages de nicotine, voire pas du tout. Tout dépend du fabriquant.
Attention, les liquides à fort dosage de Glycérine Végétale ne conviennent pas à tous les modèles de cigarettes électroniques et peuvent très rapidement encrasser vos atomiseurs.

Et au final, tout ça combiné, ça fait quoi ?

Quand vous activez votre batterie (soit manuellement, soit en aspirant pour les batteries automatiques), l’électricité transmise à l’atomiseur lui permet de chauffer. Il chauffe donc le liquide en contact avec sa résistance (apporté soit par la mèche, soit par la bourre, soit par un autre système) et le transforme en vapeur, il ne vous reste plus qu’à aspirer la vapeur via l’embout prévu à cet effet, et voilà, vous vapotez joyeusement.
Les ensembles atomiseur et réservoir sont prévus de façon à ce que l’air puisse circuler aisément, ce qui permet l’aspiration de la vapeur.

Souvenir : Passer à la cigarette électronique : semaine 1

Bon, présenter ce blog, ça c’est fait, expliquer mes raisons pour passer à l’e-cigarette, c’est fait aussi, raconter mon premier achat, idem.
On peut donc passer à la suite du programme, passer de mes cigarettes roulées à la cigarette électronique.

Je n’ai pas de plan précis pour arrêter la cigarette classique, je me dis que dans un premier temps je vais essayer un mix des deux : Garder les cigarettes « plaisir » (première cigarette de la journée, celles après les repas, celles que je prends avec le café…) et pour les autres, y substituer la cigarette électronique ou tout du moins essayer.

On va dire que ça ressemble quand même vaguement à un plan, mais sans pression, si ça marche tant mieux si ça ne marche pas, tant pis.
Bref, je commence donc cette première semaine à ce rythme et à ma grande surprise, ça marche plutôt bien, je n’ai pas à me forcer, le mix cigarettes classiques et cigarettes électroniques donne de bons résultats, quasiment dès le premier jour ma consommation de cigarettes passe à 5 par jour sans aucun phénomène de manque. La nicotine contenue dans le e-liquide que j’utilise avec ma e-cig fait bien son travail.

Résultats encourageants donc, et durant toute cette première semaine, je suis resté plus ou moins à ce rythme et j’ai été agréablement surpris de la facilité avec laquelle j’ai adopté la cigarette électronique alors que je n’avais jamais été convaincu par mes précédents tests.
Par contre pour l’instant je n’ai vapoté que dans mon environnement naturel (j’ai la chance de travailler à domicile) et je me demande bien quel peut être le regard des autres face à la cigarette électronique.

Achat de la première cigarette électronique

C’est bien beau de vouloir « vapoter », mais avec quoi ?
J’avoue que mes diverses recherches sur internet m’ont fait perdre du temps, j’aime bien faire le bon choix et il existe des tonnes de revendeurs d’e-cigs.
Peu de boutiques semblaient professionnelles, je travaille dans le web, je sais que certains secteurs très juteux peuvent attirer pas mal de margoulins et je n’avais pas envie de foirer mon passage à l’e-cigarette à cause d’un vendeur peu scrupuleux.
Lors d’une soirée, mon ami vapoteur me dit un truc qui va tout changer : Je crois qu’il y a un magasin qui s’est ouvert à Nantes, rue de strasbourg.
Dés le départ des amis je vais vérifier sur internet et trouve mon bonheur, il y a effectivement un magasin Clopinette à Nantes. Je check l’adresse exacte, les horaires d’ouverture et je planifie mon voyage à Nantes (oui voyage, j’habite à 40 kms de Nantes ).
Pour un premier achat, je préférais pouvoir être conseillé en direct en fonction de mes habitudes de fumeur? Je sais que ça peut paraitre rétrograde, surtout pour un gars dont le métier c’est le web, mais pour acheter un produit que je ne connais pas, j’aime bien être conseiller, même si je sais pertinemment bien qu’en général les vendeurs essayent de vous refourguer les produits sur lesquels ils font le plus de marge.
Mais bon, un magasin physique, ça veut dire pouvoir tester des modèles et des goûts avant d’acheter, je n’ai pas envie de me planter à cause d’un mauvais achat.
Donc me voici chez Clopinette à discuter avec le vendeur, je lui explique mes habitudes, mes besoins, je teste différents modèles, différents goûts de tabac avant de faire mon choix final.
Je choisis des goûts tabac car personnellement je n’aime pas trop les trucs du type menthol et compagnie. Déjà que je trouve que la « vapote » a un gout sucré…
Bref, me voici avec ma toute première cigarette électronique, en fait deux, j’ai acheté un pack complet ego-T qui contient :

• 2 batteries
• 2 atomiseurs
• 5 Tanks (réservoirs)
• 1 chargeur
• Plus 2 ou 3 autres petites choses mais d’un intérêt secondaire.

Je prends également deux fioles de e-liquide pour recharger le tout les deux en 16mg, type tabac assez léger.
Avec tout ça, je vais pouvoir commencer à « vapoter », mais ça ce sera pour un prochain article.

Pourquoi je passe à l’e-cigarette

Mon « pédigrée » de fumeur :

J’ai 34 ans et je fumais (ohhh que c’est bon de dire ça au passé) depuis mes 17 ans.
Difficile de compter le nombre de cigarettes par jour pour un fumeur de roulées, disons que je fumais un paquet de tabac à rouler en 6 jours.
J’ai déjà arrêté la cigarette plusieurs fois et parfois durant plusieurs mois (principalement durant les grossesses de ma femme) pour toujours finir par reprendre et toujours pour de mauvaises raisons.
J’ai essayé les patchs, les nicorettes (les faire moins dégueulasses serait un bon début), la volonté pure… échec
Je n’avais tout simplement pas envie d’arrêter.

Ma motivation pour passer à la cigarette électronique :

Les finances : non, pas vraiment, en tant que fumeur de roulées, fumer me coûtait dans les 40 euros par mois, c’est à peu près ce qu me coûte ma consommation d’e-cigarette actuellement (d’après mes estimations).
La santé : Clairement la raison principale. J’ai senti cette dernière année une très forte baisse de ma condition physique (déjà plus que passable, je suis un bon vivant sédentaire), une mauvaise respiration de jour comme de nuit, de plus en plus de mal à récupérer après un bon rhume, de fréquentes bronchites, etc.
Il est fort à parier que ces nombreuses années à fumer ont déjà fait des dégâts irréversibles à mon organisme, mais j’ai envie de voir mes enfants grandir encore un peu.

Ma première rencontre avec la cigarette électronique :

J’en avais déjà entendu parler, comme beaucoup de monde je pense, lu 2 ou 3 trucs sur internet, mais je n’avais pas creusé plus loin.
Il y a un an, un jour un de mes amis agent immobilier également fumeur me dite qu’un de ses agents commerciaux était passé à la cigarette électronique et lui en avait prêté une pour qu’il essaie. Il me propose de me la faire essayer la prochaine fois que l’on fait une soirée.
Quelques semaines plus tard c’est le premier tests, pour moi, lui ne fume presque plus que ça depuis qu’il m’en a parlé.
Je teste, bof bof.
Pour commencer, l’e-liquide utilisé est mentholé, je n’ai jamais vraiment aimé ça donc ça commence mal. Ensuite, je trouve la fumée un peu « légère ». Bref, c’est pas « si » mal, mais je ne suis pas convaincu.
Mais bon, comme il n’y a que le cons qui ne changent pas d’avis, j’ai testé d’autres goûts et type de cigarettes électroniques dans les mois qui suivirent.
Toujours pas totalement convaincu, mais l’idée fait son bonhomme de chemin dans ma petite cervelle jusqu’au jour ou je me décide enfin à passer le pas.
Mais ça ce sera pour un prochain article.

Nouveau Vapoteur

Et voilà, après presque une année d’hésitations, j’ai enfin décidé de passer à la cigarette électronique, de devenir ce que la « communauté » des utilisateurs d’ecig appellent un vapoteur.
Ce blog a pour but, dans un premier temps, de vous faire partager mon passage de la cigarette classique à la cigarette électronique aka e-cigarette aka ecig (il va falloir que je m’habitue aux terminologies de ce petit monde).

Ca fait maintenant plus d’un mois que j’ai commencé et je vais essayer dans les prochains articles de faire un rapport assez complet des semaines passées.
Pour l’instant, je retourne travailler un peu l’esthétique de ce blog, que voulez-vous, on ne se refait pas.

mes débuts dans le vapotage

Voila pourquoi j'ai commencé la vap il y a 5 ans....

Non franchement j’étais super fier de moi à l’époque... 28 ans l'envie de ne pas crever avec  pleins de  verrues bien dégueulasses dans le bec. Non franchement c’était une belle journée pleine de promesses...
Puis je suis rentré dans cette saloperie d' échoppe...
Là, le regard bovin mais malicieux (bien sur que si c'est possible) la jeune vendeuse m'accueillit:

" Monsieur bonjour, c'est pour quoi ?

 " Ben pour essayer de ne pas crever dans les 5 prochaines années!

Ah ! Ah ! Quel humour ! Vous ! vous etes un homme qui sait ce qu il veut et qui est prêt à mettre tous les moyens en œuvre pour y arriver !  Vous faites du sport non ? de la boxe peut être ? ca ce voit a votre carrure!

J'aurai du sentir venir le traquenard...Pourtant c’était gros comme un veau ( oui dans ce cas précis le veau est une image bien parlante ! mais non pas du tout, le benêt de première, le gars, si tu ne l'arnaque pas c'est un autre qui en profitera dans la demi-heure...Pfff...


"Ben en fait j'y connais rien au cigarette électro, je voudrais le truc qui se rapproche le plus d'une clope."
" Ah d'accord mais plutôt un mod, une batterie modulable ? quel type de clearomiseur ?"

"Hein ?? Oulala...Ben je vous fais confiance, j'y connais nada...."

"Oh mais Monsieur il y a des packs de base pour les débutants mais vous...il vous faut quelque chose de puissant, de virile le must quoi !!"

Et voila...le must de l'arnaque quoi!!!!
me voila reparti chez moi avec ma belle carotte à 90 balles...

J'arrive je le monte je le rempli, je test comment dire...c'est immonde, ça fuit de partout ça pique la gorge et me colle la gerbe...Je m'en suis grillé une direct pour me calmer les nerfs...

Ma belle résolution aura duré 4 h...mais 4 belles heures tout de même...

Le retour au "magasin" fut quelque chose d’épique aussi mais ça c'est une autre histoire pour un prochain billet...

Heureusement, internet ne me sert pas seulement à regarder un chat qui pisse sur un clebs en jouant de l’harmonica et grâce a cet outil formidable, mon histoire avec la vape à pu reprendre quelques années plus tard...